Suite au retour de la puce du canard (voir la page dédiée), il était impératif d’intervenir rapidement. Le problème a donc été transmis à un bureau d’étude spécialisé afin de déterminer les solutions les plus adaptées.
Les conclusions du bureau d’étude sont claires : il est essentiel d’assécher le lac au maximum pendant l’hiver. Pour rappel, la vidange contrôlée du lac constitue avant tout une mesure de sécurité visant à prévenir les accidents potentiels sur un lac partiellement gelé.
Les actions menées lors des années précédentes, notamment le roulage du fond du lac, ont eu pour conséquence d’abaisser le niveau du fond. Cela a entraîné la stagnation de l’eau durant la période hivernale et favorisé la prolifération des limnées, hôtes des larves responsables de la dermatite cercarienne.
Pour remédier à la situation, il convient de rehausser le fond du lac en apportant du tout-venant, de créer des chenaux d’évacuation, et d’abaisser la vanne d’évacuation.